Acte contre-nature ou pédophile à la GRANDE MOSQUÉE :il s'agirait d'un enfant de 15 ans interpellé par un adulte de 30 ans

Les deux homosexuels surpris en plein ébats dans la cour de la grande mosquée de Dakar, dans la nuit du lundi, passent aveux devant les éléments enquêteurs qui les ont cueillis. Selon les Echos, ils ont précisé s’être rencontrés dans les dédales de la gare routière Petersen, où ils ont sympathisé et échangé des civilités, avant d’engager une discussion sur une partie sexuelle contre-nature.



JAMRA SE CONSTITUE PARTIE CIVILE
À en croire le journal, c’est S. Sy, le plus âgé, qui a demandé des faveurs sexuelles au mineur S. Diouf en échange d’une forte somme d’argent. L’adolescent aurait ainsi accepté la proposition de l’adulte et les deux ont alors pris les méandres obscurs des allées qui jouxtent la grande mosquée, où ils ont été surpris.

L’ONG JAMRA s’est constituée partie civile dans cette affaire.

La sacralité de la Grande mosquée de Dakar a pris un terrible coup par le fait de deux jeunes gays, qui ont été surpris, tard dans la nuit d’avant-hier, en train de s’envoyer en l’air dans le plus grand lieu culte musulman du centre-ville de Dakar.

Encore les déviants sexuels au devant de la scène. Mais, cette fois-ci, ils n’ont pas prétexté la célébration en grande pompe d’un jour d’anniversaire de naissance d’un des leurs dans un appartement meublé pris en location, sis à Sacré Cœur 3 extension derrière la Résidence Mamoune sur la Vdn, pour ensuite sceller dans la plus grande discrétion le mariage de celui-ci avec sa «copine» gay. Ils ont en effet ciblé la Grande mosquée de Dakar, malgré tout ce que ce lieu symbolise dans la foi de la communauté musulmane, durant les heures creuses de la nuit pour y frapper fort en commettant un sacrilège. Et de la manière la plus ignoble qui soit ; comme pour narguer et défier toute la Ummah islamique, mais surtout les organisations de défense des valeurs et de la religion. Notamment l’Ong Jamra.

Les gays avaient la culotte baissée ; l’un était à quatre pattes, l’autre le sodomisait dans le lieu de culte



C’est avant-hier aux environs de 3h du matin que les deux jeunes amants pédés ont été surpris dans l’enceinte de la Grande mosquée de la capitale par le gardien des lieux, qui se dégourdissait les jambes en faisant les cent pas dans les coins et recoins de la maison de Dieu. Les déviants sexuels étaient à moitié nus et étaient aussi en pleins ébats sexuels. Tous les deux gus avaient la culotte baissée jusqu’à la cheville. L’un s’était courbé, avant de se mettre carrément à quatre pattes à même le sol dans un recoin sombre, histoire d’éviter éventuellement les regards indiscrets ou les brusques apparitions désagréables d’individus. Tandis que le second se tenait debout juste derrière lui et le sodomisait.

Le gardien voit tout et alerte les flics, qui surprennent les pédés en pleine action

Quand le gardien de la mosquée est tombé sur la scène, rapportent nos sources, il a eu du mal à y croire. Toutefois, il s’est gardé d’intervenir. Il a préféré les laisser dans leur sale besogne et a rebroussé chemin sur la pointe des pieds pour éviter d’éveiller le moindre soupçon ou attitrer l’attention des deux détraqués sexuels. Qui continuaient alors tranquillement à s’envoyer en l’air. Le gardien se retire dans un endroit et alerte en douce par téléphone le nouveau chef de service du commissariat de police de Rebeuss, Khadidiatou Sall. Celle-ci active les éléments de sa brigade de recherche, qui se rendent immédiatement sur les lieux et surprennent les deux homosexuels en pleine action ; ce qui constitue un flagrant délit au regard des dispositions du code pénal.

S. Sy, 29 ans, et S. Diouf avouent tout ; ils ont l’habitude de squatter la Grande mosquée

Les policiers font alors irruption devant les gays et les appréhendent. Les mis en cause se nomment S. Sy, âgé de 29 ans, et S. Diouf. Ils sont aussitôt embarqués dans la fourgonnette de police puis conduits, avec toutes les pièces à conviction à l’appui, au commissariat d’arrondissement de la localité. Ils sont présentement placés en garde à vue à Rebeuss et continuent de faire face aux questions des enquêteurs. Ils pourraient être présentés aujourd’hui devant le procureur du Tribunal de grande instance de Dakar pour acte contre-nature dans un lieu de culte. Ils seraient très connus de la population. Car, ils ont l’habitude de squatter les parages de la Grande mosquée.