Entretien: Diop Iseg évoque le test ADN et revient sur son histoire avec Dieynaba Baldé et Aissatou Seydi !

Le directeur général de l'ISEG est monté au créneau revenant sur ses les événements récents de sa vie. L'on se souvient du scandale avec Dieynaba Baldé lequel s'est soldé par une grossesse et un procès. Comme si cela ne suffisait pas, l'histoire d'expulsion de sa maison par son épouse Aissatou Seydi. Jouissant d'une liberté provisoire dans l'affaire Dieyna Baldé, Diop ISEG se livre à c?ur ouvert. 


Selon les échos, Diop Iseg a déjà mis aux oubliettes son procès avec Dieyna Baldé qui a d'ailleurs été classé:  « On peut reconnaitre la paternité par circonstance ou par autre. On a parlé de l'ADN, mais le test n'a jamais eu lieu parce que c'est Dieyna qui n'a pas voulu. J'ai toujours été catégorique dans cette affaire et je n'ai pas changé de position. Donc, je peux continuer à aider l?enfant sans problème, comme j'ai eu à le faire depuis toujours pour Dieyna. Je n?ai pas de problème avec ça. Cette histoire est derrière moi ». Précise-t-il.

S'exprimant sur son litige avec son épouse Aissatou Seydi, les choses se déroulent plutôt étrangement: « C'est une procédure qui est en cours et il faut savoir qu'il y a trois procédures en appel, en annulation et une autre ouverte à la gendarmerie ou nous avons été entendus. Elle ne pensait pas que j'allais sortir et dès qu'elle a été informée de ma libération, elle s'est empressée de détruire les chèques. En complicité avec le propriétaire de la maison. Il y a eu un deal sur mon dos »

 ISEG a décaissé 110 millions de francs CFA pour la maison dont le prix est fixé à 140 millions. Devant les enquêteurs, Aissatou Seydi a reconnu que la maison a été achetée avec des chèques de l?ISEG. On habite toujours ensemble et elle occupe une chambre dans la maison. Donc, l?ordonnance n?est pas valable car dans le code de la famille, un époux ne peut pas exclure l?autre tant qu?ils sont dans les liens du mariage ». Explique-t-il.