Affaire Ousmane Sonko accusé de viol : Les incohérences d’Adji Sarr choquent les enquêteurs.

Une accusation de viol contre l’opposant Ousmane Sonko secoue le Sénégal. Arrivé troisième à l’élection présidentielle de 2019, Ousmane Sonko dénonce une « machination » visant à l’écarter du jeu politique. Toutefois, les enquêteurs ont noté de nombreuses inconhérences dans le témoignage de l'accusatrice, la jeune masseuse, Adji Sarr. 


II- Sur la date de son prétendu premier viol, Adji Sarr a eu un trou de mémoire !

1°) C’était quand la date du premier viol, elle répond : « je ne sais pas, j’ai oublié »,

2°) Elle oublie la date de son premier viol, mais n’a pas oublié les dates et jours où elle a massé Sonko : 31 décembre, 21 janvier, 2 février. Mieux, elle donne avec une relative précision les heures de passage de Sonko : le 2 février c’était à 21 h ; le 31 décembre 2020 c’était à 19 h00 ; le 21 décembre c’était entre 14 h et 15 h

NB : Quand on imagine on n’a pas toujours le temps et le réflexe intelligent d’inventer avec une date précise. L’essentiel étant de sortir l’accusation et non de la dater. Comment ne pas connaitre le jour clé à partir duquel, comme elle l’a dit dans la plainte, sa « vie a basculé » ?

III- Sur les circonstances des supposés viols

Entre son PV d’audition et sa plainte, Adji Sarr a du mal à présenter une seule version des faits ; elle prétend pourtant avoir rédigé seule sa plainte rappelez-vous :

1°) Version A – Dans son PV d’audition, Adji Sarr déclare que lors du premier viol que : « Pour me violer, Sonko m’a menacé de me faire licencier…» ; donc chantage.

2°) Version B – Dans sa plainte cette fois-ci, Adji Sarr dit plutôt que pour la violer Ousmane Sonko l’a « étranglé et contrainte d’avoir des rapports sexuels avec lui » ;

3°) Version C – Dans la plainte aussi Adji Sarr dit qu’Ousmane Sonko vient toujours avec 2 armes et c’est avec ces armes qu’il l’a menacé pour avoir des rapports sexuels non consentis avec elle ;

NB : Mensonge : lors de son AUDITION Adji Sarr décrivant les circonstances des ‘‘viols’’ ne parle ni de menaces de mort, ni d’armes, ni de strangulation, mais SEULEMENT de chantage au licenciement. En présentant alors les faits différemment dans sa PLAINTE, nous avons preuve qu’elle n’a pas écrit la plainte et qu’elle a oublié le scenario inscrit dans la plainte.